Institut Dr. Furter

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Cas cliniques : Appareil digestif

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CC N°004

Mme C.S. 74 ans, consulte en avril 1999 pour des symptômes persistants, survenus 6 mois plus tôt en mangeant des calmars : nausées, ballonnements, éructations, douleurs abdominales épigastriques aggravées après avoir mangé, également aggravées par les odeurs fortes ; diarrhée 10 à 15 fois par jour ; goût amer dans la bouche.
Elle ne peut plus manger que des pâtes, tous les autres aliments lui aggravant tous ces symptômes.
Un gastro-entérologue consulté a diagnostiqué une colopathie fonctionnelle et prescrit METEOXANE + DEBRIDAT + SMECTA. Ce traitement a permis de réduire la fréquence de la diarrhée à 4 selles liquides par jour, mais n'a pas d'action franche sur les autres symptômes ; cette dame en est réduite à ne manger que des pâtes.
A l’examen, elle présente : une petite zone douloureuse para-épigastrique droite et une zone un peu plus étendue très douloureuse para-ombilicale droite.
Dès la première séance (20 minutes) elle a pu remanger de la plupart des aliments, tout en ayant arrêté spontanément ses médicaments.
Après 2 autres séances de 20 à 25 minutes au niveau de ces zones douloureuses, à 1 semaine d’intervalle, elle ne présente plus aucun trouble digestif. Elle mange à nouveau de tout. Elle va à la selle 3 fois par jour mais ses selles sont bien moulées (rythme de selles qu’elle a depuis son enfance). Elle n’a plus ni douleur, ni nausée, ni météorisme ni éructation.

CC N°016

C. F. 48 ans. Employé. Diagnostic : recto-colite ulcéreuse depuis décembre 1997.
Symptômes : 4-5 évacuations par jour, avec du mucus et du sang, liquides et informes, il est totalement intolérant aux produits laitiers.
Zone de la thérapie : hypocondre droit, région épigastrique et 2 doigts sous zone ombilicale pendant 7 séances, une fois par semaine.
Résultats : après la 5ème séance les selles sont façonnées normalement. Après la 7ème séance l’intolérance aux produits laitiers est diminuée.
Aujourd’hui le malade n'a plus les symptômes et mange régulièrement les produits laitiers.
Le contrôle au 15.12.2000 montre qu’il continue sans problème.

CC N°027

Mme F. V. est une femme de 74 ans opérée de cholécystectomie et de l’hernie hiatale en 1990. Malgré cela elle continue à souffrir de l'estomac tous les jours tout en prenant du Mopral et du Gaviscon depuis 1996. Toute tentative d’arrêt de ces drogues se solde par une recrudescence de ses douleurs. Elle souffre quotidiennement. Elle ne peut se permettre aucun écart. Elle ne peut plus prendre le moindre alcool. La connaissant bien je lui propose une méthode manuelle que l’on doit à un médecin suisse le Dr Furter. J’applique la méthode avec un certain scepticisme. Je suis étonné comme elle, de trouver en regard de l’estomac des zones très douloureuses que je traite pendant quelques minutes. Je lui explique qu’il faudra probablement plusieurs séances pour la soulager. Qu’elle n’a pas été mon étonnement quand trois semaines plus tard elle me téléphone pour me dire qu’elle ne prend plus de Mopral, qu‘elle n’a plus mal et qu’elle s’est permise de prendre quelques apéritifs sans éprouver la moindre douleur. Par contre elle a continué le Gaviscon (malgré la disparition des douleurs) au cas où elle aurait mal, et elle me demande ce qu’elle doit faire. Le seul inconvénient est la présence d’un hématome de la paroi abdominale douloureux pendant 4 à 5 jours. Je pratique une autre séance, bien qu'elle se sente encore bien. La zone traitée est beaucoup moins douloureuse que la première fois. Devant l’effet spectaculaire de mon traitement elle pense que je lui ai réduit sa hernie hiatale manuellement ! Je lui demande de me contacter pour une autre séance si sa gastralgie revenait. A ce jour elle va toujours bien.
Au total, soulagement et même guérison d’une gastrite chronique traitée sans succès par des inhibiteurs de la pompe à protons (Mopral) et topiques gastriques depuis 5 ans chez une patiente opérée d’une lithiase biliaire et d’une hernie hiatale il y a 10 ans.

CC N°058

Mlle M. L. est une « femme d’affaires » très occupée. Elle fait de très nombreux déplacements dans différentes villes de France et d’Europe afin d’obtenir des contrats pour son entreprise. Malheureusement pour elle, dès qu’elle se déplace elle souffre d’une constipation opiniâtre qui résiste à tous les traitements et cela malgré une très bonne hygiène de vie (notamment absorption de fibres, boissons abondantes, sport, etc.).
Je la traite 10 minutes selon le protocole habituel et à la séance suivante elle me dit que malgré un déplacement de plusieurs jours à Paris elle a eu plusieurs selles dans la semaine.
Après que la constipation soit guérie, je lui ai soigné le genou gauche, qui lui donnait pourtant du souci depuis 2 ans et pour lequel elle avait subit de nombreux traitements anti-inflammatoires, infiltrations, laser, kinésithérapie (elle a même été brûlée par la physiothérapie), ionisations etc. Le tout s’est arrangé très rapidement.
Elle a pu à la fois continuer ses déplacements professionnels et la course à pied intensive.

CC N°127

Mme M., secrétaire, née en 60, présente une constipation chronique depuis son enfance. Pesant 50 kg pour une taille de 1.55, elle obtient une exonération deux fois par semaine par la prise de laxatifs drastiques à base de bourdaine. Les différents traitements à base de mucilages, antispasmodiques associés restent sans effets. Elle accepte de subir une coloscopie en octobre 2000 qui montre un mégadolichocolon et l'histologie des prélèvements biopsiques met en évidence une mélanose colique.
Je propose à Mme M. un traitement viscéral selon la technique du Dr Furter (massage sous ombilical en ellipse). Elle revient pour une 2ème séance.
Elle me téléphone 3 jours après celle-ci pour me demander un rendez- vous pour une 3ème séance, car me dit-elle : « ça marche, je ne prends plus rien».

CC N°128

M. G., 29 ans. Suite à un stress professionnel, il fait une 2ème poussée de recto-colite ulcéro-hémorragique. La 1ère poussée a eu lieu 2 ans auparavant confirmée histologiquement par des prélèvements étagés réalisés au cours d'une coloscopie, et ayant motivé la prescription par un confrère gastro-entérologue, de PENTASA et de dérivés cortisones par voie rectale. Le traitement de la 1ère poussée avait duré environ 4 mois et le patient l'avait de lui-même arrêté devant la disparition de toute symptomatologie.
Lors de notre 1ère consultation, les symptômes sont réapparus depuis 1 mois environ avec des diarrhées glairo‑sanglantes, des douleurs abdominales, un amaigrissement de 3 kgs et une intolérance à tous les fruits et légumes crus. L'abdomen est sensible à la palpation et l'examen révèle des zones très douloureuses en péri ombilical et dans les 2 fosses iliaques. Le patient ne souhaite pas reprendre ses traitements médicamenteux antérieurs, ni aucun autre traitement médicamenteux. Nous lui proposons un traitement manuel auquel il adhère volontiers, conscient des "tensions dans son ventre''. En 3 séances réalisées à une semaine d'intervalle, les douleurs s'estompent, les diarrhées disparaissent ; après 6 séances, le patient peut revenir à une alimentation diversifiée incluant à nouveau légumes et fruits crus.
Après 12 séances, le patient s'estime en rémission complète jusqu'à ce jour (3 ans après la première consultation).

CC N°087

G. B., 54 ans, infirmière.
Diagnostic : gastrite érosive.
1ère visite : juin 2000.
Symptômes : douleurs, brûlures, acidités continuelles malgré la thérapie avec inhibiteurs.
Traitement : sur la zone épigastrique pendant 3 séances.
Résultats : après la 1ère séance les symptômes ont disparu.
Contrôle : décembre 2000 pas de récidives et elle va bien.

CC N°079

G. A. 63 ans.
Diagnostic : ulcère duodénal. 1ère visite : avril 99.
Symptômes : ballonnements et douleurs dans la région épigastrique après les repas, acidité gastrique continue.
Thérapie : traitée dans la région épigastrique par 4 sessions hebdomadaires.
Résultats : les symptômes ont complètement disparu après la 3ème séance.
Contrôle: juillet 2000. Elle n'a pas eu de récidives et n'a pas de problèmes, elle mange de tout.

CC N°077

P. G. 32 ans.
Diagnostic: ulcère duodénale. 1ère visite : juillet 99.
Symptômes : épigastralgie depuis 5 ans.
Thérapie : traitement dans la région épigastrique par 4 sessions hebdomadaires.
Résultats : les douleurs ont disparu après la 1èreséance.
Contrôle : récidive légère pendant 1 jour en septembre 2000. Actuellement: plus de problème.

 

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