Institut Dr. Furter

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Cas cliniques : Psychisme

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CC N°003

Monsieur P. 35 ans, consulte en mai 94, car la prise d'un anti-dépressif prescrit par son médecin 3 semaines plus tôt ne lui apporte aucune amélioration.
Il présente en fait depuis quelques mois, allant en s'aggravant, les symptômes suivants :
- un mal-être général ;
- des nausées ;
- une angoisse ressentie à l'épigastre ;
- un dégoût des aliments faisant en sorte qu'il ne s'alimente presque plus.
La plupart de ces symptômes sont ressentis entre l'ombilic et l'estomac. A l'examen il existe une petite zone cutanée de 2 cm de diamètre, très douloureuse à la palpation, située à 3 cm en haut et à gauche de l'ombilic. Une séance de massage de 30 minutes à cet endroit lui permet de retrouver le goût à la nourriture dès le soir même, avec disparition de tous les symptômes dès le lendemain.
A la deuxième séance je localise qu'une zone à peine douloureuse et ce monsieur a retrouvé la joie de vivre et de bien manger. Il a arrêté spontanément les anti-dépresseurs le jour même de la première consultation.
Un an après, je l’ai revu pour d'autres problèmes, les symptômes pour lesquels il avait consulté auparavant n'ont jamais récidivé.

CC N°005

Mr. D.T., 40 ans, se plaint en octobre 1998 d’angoisses fréquentes, ressenties au niveau du sternum. Depuis 10 jours elles sont accompagnées de palpitations, de sensation de cœur qui s’arrête de battre et d’oppression respiratoire avec besoin d’inspirer à fond. Il se sent dépressif et « mal dans sa peau ». A l’examen, il présente deux zones cutanées très douloureuses, une au niveau de la moitié supérieure du sternum et l’autre au niveau précordial.
Trois séances au niveau de ces deux zones ont fait disparaître les angoisses, l’oppression et les palpitations. Ce monsieur ne se sent plus déprimé et il a retrouvé le goût de vivre.
Un an plus tard, les symptômes n’ont toujours pas récidivé.

CC N°030

E. U., âgée de 16 ans est traitée depuis 6 mois pour anorexie mentale. Elle pèse 39,250 kilos pour une taille de 1,60m.
Elle suit une psychothérapie et elle prend le traitement suivant : Thioridazine (MELLERIL) : X X X X gouttes et Miansérine (ATHYMIL) : 10 mg le soir.
Lorsque ses parents me l'amènent en consultation, E. se fait vomir après chaque repas. Elle a eu un bilan hospitalier qui s’est révélé négatif. Par contre, E. signale des brûlures et des crampes gastriques à la prise alimentaire.
J'applique la méthode Furter au niveau du creux épigastrique et de l'hypochondre gauche, et E. rentre chez elle. Trois jours plus tard, ses parents me téléphonent pour me dire qu'elle ne s'est pas fait vomir depuis que je l'ai traitée.
Je la revois quinze jours plus tard. E. se fait rarement vomir. Elle pèse 40 kgs. Je la traite une nouvelle fois au même endroit de l'abdomen.
Un mois plus tard, E. pèse 43,750 kilos. Elle ne vomit plus. D'elle-même, elle a arrêté son ATHYMIL 10 et a fortement réduit le nombre de gouttes de MELLERIL ; elle n'en prend plus que X gouttes le soir. J'applique une troisième fois la méthode. E. manifeste le désir de ne plus voir la psychiatre.
L'amélioration de son état s'est confirmée les mois suivants. E. a 20 ans. Elle pèse 50,500 kg et elle ne présente plus aucun trouble du comportement alimentaire.

CC N°071

P. S., 56 ans.
Diagnostic : syndrome dépressif.
1ière visite : mars-avril 98. Symptômes : la malade vient au cabinet avec le regard vers le bas, prostrée, sans désir de parler avec les autres. Elle suit un traitement depuis des années avec Talofen, Lymbitril, Trittico, Neurontin et benzodiazépines variés.
Je lui demande : « Quel est ton problème? ».
Elle répond : « Crise de pleurs ».
Q. : « Où est-ce que tes crises commencent? »
R : « À l'estomac »
Je traite la région épigastrique où j'ai trouvé un « iceberg » énorme.
Résultat : après la 1ère séance les crises de pleurs sont réduites de moitié, la céphalée est diminuée, il reste l'asthénie. Après la 2ème séance les crises de pleurs ont disparu. Après la 6ème son psychiatre lui réduit de moitié la thérapie pharmacologique qui est abandonnée après la 8ème séance.
Contrôle: en mai 2000 elle dit ne pas avoir eu de crise de pleurs et maintenant elle ne prend pas les antidépresseurs et rarement un demi comprimé de benzodiazépine.

CC N°129

Madame G., 27 ans, est suivie pour une spondylarthrite ankylosante. Elle présente depuis novembre 98 des troubles du sommeil avec réveil nocturne, elle est traitée d'abord par antidépresseur (Prozac, Athymil, Xanax), elle est aussi suivie par un psychiatre. Devant l'inefficacité du traitement nous lui proposons de traiter avec la technique son crâne car elle décrit des migraines depuis de nombreuses années. A la 3ème séance elle a arrêté le Xanax, à la 4ème nous débutons l'arrêt progressif de l'Athymil qui sera arrêté à la 6ème séance. Elle se sent bien, plus de maux de tête, plus de troubles du sommeil ni d'état dépressif avec un recul de un an et demi.

CC N°108

Mme R. T., vient en consultation perplexe. Elle avait consulté un gynécologue pour sa fille S. de 15 ans, qui depuis quelque mois souffre de dysménorrhée. Le gynécologue avait trouvé un utérus anté-fléchi et il lui avait proposé un contraceptif. Mais, la dame dit : « Je ne suis pas convaincue : si la dysménorrhée est due à l'utérus anté-fléchi pourquoi ma fille, jusqu'il y a quelque mois, ne s'est pas plaint ? » Elle ajoute : « Il y a un autre problème : S. a toujours mal au ventre, elle mange très peu, elle est très nerveuse, nous nous querellons toujours ». Je lui dis de m’amener sa fille pour la traiter avec la " Médecine Manuelle du Dr Furter ". Au rendez-vous la fille confirme ce que sa mère m'avait dit, mais elle ajoute une phrase significative : « Docteur, je n'ai pas mal au ventre à cause de ma nervosité, mais je suis nerveuse parce que j'ai toujours mal au ventre ».
Nous avons pratiqué 4 séances de Médecine Manuelle sur la zone épigastrique et hypogastrique ; le mal au ventre, la dysménorrhée, et la nervosité ont disparu ; S. ne se bagarre plus avec sa mère. Après environ 2 ans, la fille continue à aller bien.
Nous avons traité 15 cas comme celui-ci : le nombre de séances ont été en moyenne de 4 à 5, avec un 100% de succès.

CC N °107

Une de mes patientes, Mme B. G. 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (Tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes Psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la " Médecine Manuelle du Dr Furter ", j'ai eu l'occasion de revoir cette patiente. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons un autre type de thérapie ".
Nous avons pratiqué 3 séances de Médecine Manuelle sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparu.
Nous avons traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour de 90% de succès.

CC N°092

P. S., 31 ans. Chauffeur de bus.
Diagnostic : inquiétude et dépression. 1ère visite : octobre 2000.
Symptômes : il ne réussit pas à conduire le bus quand il doit envisager un nouveau parcours. Traité avec Prozac et Clopixol.
Thérapie: traité sur la zone épigastrique 3 fois.
Résultats : après la première séance, il affronte de nouveaux parcours sans grands problèmes, après la 3ème séance il n’a plus de problèmes et il a arrêté le Prozac. Il continue à prendre 3 gouttes de Clopixol chaque 3 jours.
Contrôles : 15.12.2000. Pas de problèmes.

CC N°090

F. F., 33, employée.
Diagnostic : anxiété. 1ère visite : octobre 99.
Symptômes : douleurs à la poitrine, crampes à l'estomac, toujours agitée, elle prend Levopraid.
Thérapie : traité au plexus, sur le sternum et sur le dos pendant 8 séances.
Résultat : après la 2ème séance elle diminue de moitié les médicaments parce que les symptômes avaient diminué. Elle a eu une récidive après 5 séances, mais tous les symptômes ont disparu après la dernière séance.
Contrôles : en juillet 2000. Toujours bien, elle n'a pas pris de médicaments depuis 7 mois.

CC N°088

D. G. Sexe féminin. 37 ans.
Phobie (terreur des serpents). 1ère visite : septembre 99.
Symptômes : un jour par inadvertance elle touche avec le pied un serpent et cela provoque un état de tétanisation des muscles avec difficulté pour respirer.
Thérapie : traitée au sternum, sur les clavicules droite et gauche, la zone centrale du front pendant 22 séances hebdomadaires.
Résultat : après la 1ère séance elle respire mieux, cependant le traitement a continué 22 semaines. Au printemps elle a vu un serpent et elle n'a pas eu de grands problèmes. En été, elle a encore rencontré un serpent et elle est restée indifférent.
Contrôles : en septembre 2000 elle me téléphone pour me dire qu’elle est satisfaite du traitement parce qu'elle n'a plus peur des serpents et elle n’a pris aucun médicament ni fait de visites psychiatriques.

CC N°080

P. P. 70 ans.
Diagnostic : dépression, insomnie. 1ère visite : février 99.
Symptômes: insomnie, asthénie, l’œil droit larmoyant ndd. Elle dit : " J'ai envie de ne rien faire ".
Thérapie : traitée dans la région du cou et à l’œil droit par 4 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 1ère séance elle est plus calme et dort mieux, après la 3ième séance elle n'a plus de symptômes, elle dort bien, les larmes normales, la patiente est satisfaite.
Contrôle : 19.12.2000, aucun problème.

CC N°078

L. M. 45 ans. Employée.
Diagnostique : dyspnée et tachycardie.
1ère visite : Avril 99. Symptômes: inquiétude avec dyspnée et tachycardie, 3 à 4 épisodes par jour en moyenne.
Thérapie : traitée sur la poitrine et sur le dos : 6 sessions hebdomadaires.
Résultats : les symptômes ont diminué après la 1ère session, ils ont disparu après la 4ème séance.
Contrôle : Octobre 99. Elle n'a plus de problèmes.

 

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